Un dirigeant d’ETI m’a confié un jour :
« Nous ne déclarons pas nos dons. Nous ne voulons pas que notre mécénat paraisse intéressé. »
Une posture respectable.
Mais aussi un frein à l’élargissement de son impact.
Un an plus tard, sa vision avait évolué.
En structurant son mécénat, il a doublé le budget alloué à ses actions.
Pourquoi ? Parce qu’il a compris que la fiscalité, bien utilisée, pouvait devenir un levier, et non un compromis.
Avant :
Des dons discrets, ponctuels, perçus comme de simples élans solidaires.
Une démarche sincère, mais sans cadre, sans impact ni effet d’entraînement.
Après :
Une stratégie assumée, formalisée, cohérente.
Une équipe engagée, un projet porteur de sens pour l’interne comme pour le territoire.
Et surtout, la possibilité de réinjecter les économies fiscales dans de nouvelles initiatives à impact local.
« J’ai compris que la défiscalisation ne dénaturait pas notre engagement.
Elle nous permettait d’en faire plus, mieux, et sur la durée. »
Ce témoignage résonne particulièrement dans le contexte actuel.
Le cadre fiscal du mécénat est régulièrement interrogé par les pouvoirs publics.
À chaque débat parlementaire ressurgit la même question : Le mécénat serait-il un outil d’optimisation ?
Et pourtant, les faits sont clairs :
- 56 % des ETI françaises font du mécénat
- Elles le font d’abord pour incarner leurs valeurs, renforcer leur ancrage territorial et fédérer leurs équipes
(Source : Baromètre Admical 2025)
Il est donc essentiel de le rappeler :
La défiscalisation n’est pas une dérive.
C’est un levier stratégique au service de l’intérêt général.
Elle ne trahit pas l’engagement.
Elle lui donne les moyens de durer, de croître, de se structurer, malgré l’instabilité fiscale.
👉 Et si vous faisiez de la fiscalité un levier pour amplifier vos actions de mécénat, sans en trahir l’esprit ?
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Parlons-en.
