Nouvelle et toute dernière note de prospective de Pro Bono Lab : « Fédérer ses parties prenantes autour du mécénat de compétences ».

L'impact est une partition collective. Encore faut-il accorder les instruments.

Déployer une politique de mécénat de compétences ne s’improvise pas.

C’est précisément le sujet exploré dans la dernière note de prospective de l’Observatoire du pro bono, issue d’un cycle de réflexion collective mené par Pro Bono Lab avec des entreprises, fondations et experts du secteur.

J’ai eu le plaisir de contribuer à cette note qui propose des pistes concrètes pour dépasser les freins et bâtir une stratégie d’engagement des collaborateurs à la fois cohérente, ambitieuse et adaptable.

𝐏𝐚𝐫𝐦𝐢 𝐥𝐞𝐬 𝐞𝐧𝐬𝐞𝐢𝐠𝐧𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭𝐬 𝐜𝐥𝐞́𝐬 𝐝𝐞 𝐜𝐞𝐭𝐭𝐞 𝐩𝐮𝐛𝐥𝐢𝐜𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 :

✔ Le mécénat de compétences est un levier RSE stratégique, bien au-delà d’un simple dispositif RH
✔ Il nécessite un pilotage fin, capable d’articuler cadre commun et adaptation locale sans dilution du sens
✔ L’équité d’accès à l’engagement devient un impératif managérial, culturel et éthique
✔ La mesure d’impact reste un angle mort : choisir les bons indicateurs devient un enjeu central
✔ Enfin, la qualité des partenariats associatifs, et leur ancrage local, ne sont pas optionnels et conditionnent l’impact réel

Une lecture essentielle pour toutes les entreprises qui souhaitent initier ou renforcer leur programme de mécénat de compétences.

🙏 Cette note a une portée particulière : elle est aussi la dernière publiée par Pro Bono Lab, à la suite de la fermeture récente de l’association.

Je tiens à saluer leur contribution majeure à l’écosystème du pro bono depuis près de 15 ans. Leur rigueur, leur vision et leur capacité à fédérer ont marqué le secteur.

Un immense merci à Laurent Fialon, Marjorie Perez, Manon Philippe, Juliette Sachot, Rose Coquerelle, et à toute l’équipe.

👉 Note à lire ici : https://www.calameo.com/books/0079642478c42d6da00c0

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C’est une phrase que j’entends souvent au sujet du mécénat de compétences. Et généralement, elle arrive après plusieurs tentatives : des actions ponctuelles, quelques succès les premières années. Puis ça stagne, ou ça baisse. Il faut dire les choses : mobiliser 10 à 15 % de collaborateurs dans un programme …

Aujourd’hui, nombre d’associations ne parlent plus de développement, mais de survie. Gel des recrutements, licenciements économiques, projets suspendus… La baisse brutale des financements publics les met à genoux.Et cette tendance va se poursuivre. Pourtant, leur rôle est essentiel. Elles agissent là où personne d’autre n’agit.Mais avec moins de ressources humaines, …

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